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L'Actu de la semaine 13 septembre 2021

 

Urbex au Château de Boisseron
Dans le village de Boisseron à 30 minutes de Montpellier et proche des Cévennes, dans l’Hérault (34) et à la limite du Gard (30), se cache un vieux château et son domaine en ruines aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. Ce n’est pas ce qu’on peut appeler une location de vacances avec piscine et vignes, gîtes et campings. Avant de devenir un spot idéal pour l’urbex et les explorateurs insolites, le domaine digne d’un film d’horreur hanté par un fantôme fut d’abord il y a 2000 ans une puissante tour à signaux ; puis demeure pour son premier seigneur en 759 ; puis maison de retraite pour sportifs de haut niveau en 1961, et enfin un lieu de tourisme local avant de finir à l’abandon (peut-être provisoire) et rempli de graphitis et de lierres grimpant sur les façades anémiques et craquelées du château.

L’exploration urbaine (de cette propriété privée ?) était excitante, car pénétrer dans ces bâtiments en friches aux allures de sanatorium et de catacombes est toujours comme découvrir des sites abandonnés interdits. Bien sûr il n’en était rien, je n’étais pas le premier explorateur, à en juger par la démonstration de street art que je n’ai pu m’empêcher de photographier. Visiter les lieux et explorer les toits, les galeries, souvent difficiles d’accès, était comme se promener dans un parc d’attraction. Après un état des lieux des différentes locations et spots délaissés, nous avons entrepris de faire de ce manoir en friche notre haut lieu photographique.

https://yohanchardeyphotos.com/la-fille-du-cimetiere-histoire/

Journées du Patrimoine 2021 : l’Elysée
Comme chaque année, le palais présidentiel ouvre ses portes à l’occasion des Journées européennes du Patrimoine, les 18 et 19 septembre, avec une jauge en hausse par rapport à l’édition 2020. Près de 10 000 visiteurs sont attendus durant le week-end, contre 5 000 l’année dernière. Les Journées européennes du Patrimoine sont votre unique espoir de pénétrer le numéro 55 de la rue du Faubourg Saint-Honoré, à Paris (VIIIe). Plus prestigieuse demeure de la République, et l’ancienne résidence de la marquise de Pompadour, le palais de l’Élysée ouvre ses grilles pour accueillir les visiteurs les samedi 18 et dimanche 19 septembre de 9 heures jusqu’à 19 heures, soit une heure de plus que les années précédentes. Les réservations sont uniquement accessibles via une billetterie en ligne, ouverte ce vendredi à 20 heures sur le site Internet de l’Élysée, permettant aux visiteurs de choisir leur jour et horaire de visite.

La Covid en Calédonie
Alors que le nombre de cas augmente de manière exponentielle depuis la découverte de trois cas autochtones le 6 septembre, les autorités ont rendu la vaccination obligatoire pour les plus de 12 ans.

La Nouvelle-Calédonie, jusqu’à présent épargnée par l’épidémie de Covid-19 grâce à sa stratégie « zéro Covid », apprend désormais à vivre avec le virus et doit s’organiser pour lutter contre sa propagation. Depuis la découverte des trois premiers cas autochtones, lundi 6 septembre, une course de vitesse s’est engagée. Alors que le virus se répand de manière exponentielle – lundi 13 septembre, 821 cas ont été recensés et deux morts ont été enregistrés –, les autorités calédoniennes, après avoir décidé d’appliquer au territoire, dès le mardi 7 septembre, un confinement strict d’au moins quinze jours, ont donné un coup d’accélérateur à la campagne de vaccination, rendue obligatoire pour les plus de 12 ans.

A la date du 7 septembre, à peine un quart des quelque 288 000 habitants était totalement vacciné, seulement 30 % ayant déjà reçu une première dose. Dans un territoire où l’obésité touche les deux tiers des adultes et le diabète un dixième de la population, où le mode de vie communautaire reste prédominant au sein des tribus et des squats, la faiblesse de la couverture vaccinale laissait présager cette flambée rapide.

« Délicieux » sort en France


« Délicieux », cette gourmande comédie historique d’Éric Besnard, située aux prémices de la Révolution, raconte l’émergence du premier chef au sens moderne, et l’invention du restaurant tel que nous le connaissons, avec un ensemble de plats harmonieux, et l’ouverture démocratique aux plaisirs de la table.
Le film se veut méticuleux. Les vrais chefs ont vite corrigé le menu : le « Délicieux », cette bouchée novatrice au centre de l’intrigue, « était d’abord un feuilleté dans le scénario, ce qui n’existait pas en France à l’époque. On a corrigé ce genre de détails », confient-ils.

Les acteurs ont fait un stage d’une semaine dans la brigade du quai d’Orsay. Avec des résultats… Divers. Leurs coachs en rient : « Grégory Gadebois ne s’y connaissait pas trop mais a progressé très vite. Un matin, il nous dit : J’ai fait vingt pommes bouchons à la maison. Il était tout fier. Isabelle Carré, la cuisine, ce n’est pas du tout son truc. Elle ne savait même pas éplucher des pommes de terre. »

« Il y avait du boulot » reconnaît la comédienne. « J’ai été très très aidée. Depuis le film, Grégory est devenu un as de la cuisine. Moi, ça n’a rien changé, mais grâce à Thierry et Jean-Charles, j’ai au moins appris à ne pas me couper comme le premier jour. » « Je manquais de sensualité », ajoute la comédienne.

Le Vignoble des Hautes Collines

http://vignoblestjeannet.fr/

Le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur alimente un marché de niche. En effet, il a mis au point depuis quatre générations une méthode empirique qui lui est propre : l’élevage de vin rosé, en bonbonne, en plein soleil, pendant 6 à 8 mois. Cette méthode pourrait paraitre contraire aux principes de conservation du vin. Cependant, elle donne un produit apprécié. Chaque semaine des dégustations permettent d’évaluer l’évolution des arômes et le niveau de l’oxydation. 

Devant la cave, en plein air, les vins rouges et rosés de la vendange de l’année ont été mis en bonbonnes en verre. Ils attendent patiemment leur retour en cave. L’alternance de la fraîcheur des nuits et de l’ensoleillement de la journée va donner au vin de Saint-Jeannet un goût particulier très fruité. Au début du siècle, les anciens exposaient de la sorte leur vin déjà embouteillé sur les tuiles des appentis. Le vin était tuilé. D’autres vignerons le conservaient aussi dans les greniers.

Sur les premières hauteurs de la Riviera, des vins (vraiment) pas comme les autres. Un des derniers Saint-Jeannois à cultiver la vigne, Georges Rasse n’aime rien tant que l’originalité. C’est ainsi qu’il est le seul vigneron en Provence à croire aux bienfaits du soleil sur le vin. Le sien passe plusieurs mois en bonbonnes, sur les grandes terrasses du caveau. Et le résultat est pour le moins étonnant !

C’est à Saint-Jeannet, petit village situé sur les hauteurs de Nice, que Jacques Prévert a écrit « vignette pour les vignerons ». Notre famille RASSE et moi, Georges, y cultivons la vigne selon des méthodes naturelles pour vous proposer des vins biologiques d’exception.  c'est un vignoble en agrobiologie qui travaille le soufre avec parcimonie !

J’ai poursuivi la tradition de l’élevage au soleil qui permet de travailler l’oxydation.

En 20 ans de recherche j’ai transformé cette approche empirique, délaissée par tous, en une véritable méthode. C’est un savoir-faire complexe qui me permet d’affiner mes cuvées, selon mon palais et mon intuition, en leur donnant des arômes tout à fait uniques d’épices et de noix.

Le rosé y prend la couleur des tuiles, les rouges deviennent ambrés en se nuançant des parfums d’un vin évolué (griottes confites, kirsch, pruneaux …) tout en gardant la fraîcheur exceptionnelle d’un vin jeune.

Chaque année, Georges Rasse imprime de nouvelles étiquettes à partir d’un tableau de son frère Rémy, artiste peintre. La peinture n’est jamais choisie par hasard : ses couleurs reflètent l’intensité du millésime.

Découvrez ‘One Lane Bridge’, ce ‘Broadchurch’ néo-zélandais à ne pas louper

Une toute nouvelle série policière débarque sur Arte ! Dans ‘One Lane Bridge’, une petite ville est bouleversée par un décès mystérieux. Une enquête pas comme les autres va se nouer autour de ce qui pourrait bien être un meurtre… Proximus Pickx vous dit tout de cette intrigue à découvrir. 

Ariki Davis est un jeune détective maori envoyé à Queenstown pour enquêter sur une mort suspecte. Il semblerait qu’un homme ait chuté du pont One Lane, un lieu connu de la petite ville néo-zélandaise. Très vite, son intuition va l’amener à penser qu’il s’agirait d’un meurtre, et non pas d’un suicide. Mais s’agit-il réellement d’un simple pressentiment ? Ou le policier est-il en train de développer des dons bien plus intenses que ça ? Dans une petite ville où tout fini par se savoir, comment enquêter sans déchirer toute une population ? 

Avec ses allures de 'Broadchurch', cette nouvelle série promet d’intriguer autant qu’elle passionne. Au-delà d’un scénario franchement prometteur, elle s’engage sur des thèmes aussi variés que le racisme, le sexisme et une forme de spiritualité. Elle met en scène le deuil de toute une communauté, ce qui permet d’explorer de fortes relations interpersonnelles. 

Le personnage principal est interprété par Dominic Ona-Ariki, une belle occasion pour lui d’honorer ses origines. À ses côtés, retrouvez Joel Tobeck, que vous avez peut-être vu dans ‘Secret City’ ou ‘Sons of Anarchy’. Côté réalisation, on retrouve Pip Hall (Freaky) et Philip Smith (Coast Australia). Cette série apporte énormément d’attention aux décors, qui ont une place prépondérante dans l’intrigue. Et il faut dire qu’on risque d’en prendre plein les yeux, puisque les événements prennent place au coeur de la nature de Nouvelle-Zélande. À voir ! 

Découvrez ‘One Lade Bride’ les jeudis à 20h55 sur Arte ou sur Pickx.be ou l'app de Proximus Pickx. Via TV Replay, vous pouvez regarder le programme jusqu'à 36 heures plus tard quand vous le souhaitez, ou également sur le site ou l'app 7 jours après sa diffusion !

https://www.proximus.be/pickx/fr/2168182/decouvrez-one-lane-bridge-ce-broadchurch-neo-zelandais-a-ne-pas-louper