Tu seras mon fils
You will be my son
Directed by Gilles Legrand, You Will Be My Son stars Niels Arestrup as Paul de Marseul, a prestigious wine-maker and owner of a renowned chateau and vineyard in Saint-Émilion, whom is disheartened by the notion of his son Martin (Lorànt Deutsch) taking over the family business. Martin does not seem to have inherited the qualities that Paul esteems in a wine-maker: persistence, creative insight and technical prowess matched with passion for the job and the product, and Paul frequently reminds him of this, whether explicitly or in subtle gestures. When Philippe (Nicolas Bridet) appears at the vineyard, Paul leaps at the chance to name him as his successor, neglecting the wishes of his own son. The tension in this familial triangle comes to a head when an unexpected event changes everything.
Synopsis et détails
On ne
choisit ni ses parents, ni ses enfants !
Paul de Marseul, propriétaire d’un prestigieux vignoble à Saint Emilion a un fils,
Martin, qui travaille avec lui sur le domaine familial. Mais Paul, vigneron
exigeant et passionné, ne supporte pas l’idée que son fils puisse un jour lui
succéder. Il rêve d’un fils plus talentueux, plus charismatique… plus conforme
à ses fantasmes de père ! L’arrivée de Philippe, le fils de son régisseur va
bouleverser la vie de la propriété. Paul tombe en fascination devant ce fils
idéal. Commence alors une partie d’échec qui se jouera à quatre : deux pères,
deux fils, sous le regard impuissant des femmes qui les entourent. Et au moins
l’un d’entre eux n’a plus rien à perdre …
Critique:
Like a fine wine, this drama is full-bodied and complex and provides a fascinating look at the matter of the transmission of knowledge, heritage and tradition in the world of wine.
Legrand a donc mélangé vin et famille, cru et transmission. Le résultat, sans faute de carre ni de goût, est documenté : fort, âpre, violent, parfois dérangeant et politiquement incorrect, car on y voit un père qui déteste un fils devenu son rival, un fils qui trahit son père pour un autre... Pour une première vraie incursion du cinéma français dans les vignes, Legrand est descendu tout au fond des caves.