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La Maison de la Radio

The House of Radio

 

The House of Radio

Vive National Radio!

Nicolas Philibert’s funny, affectionate montage of dedicated individuals at work in Paris’s massive Maison de la Radio is an audiovisual hymn to aural artistry and delight. A gleefully jaded news editor flips through the day’s grisliest headlines, a drama producer fine-tunes her actors like musical instruments, a chatty phone operator shrewdly susses out talkback callers, a Tour de France commentator rides pillion, Umberto Eco considers his next word, an Aussie hip hop band makes world music on Paris radio: the breadth of civilisation emanating from within these walls, and out into the world at large, seems infinite and exhilarating.

Philibert is well established as a savvy chronicler of abundant life within closed environments (To Be and To Have) and the wealth of communication generated by sensory deprivation (In the Land of the Deaf). He spent months filming in the corridors, offices and studios of the building that houses several of France’s premier public radio stations, then distilled his observations into a typical day in the life – and an enchanted homage to intelligent life on the airwaves.

Click here for info on the one Rialto Tauranga session scheduled for Saturday 28th September at 11am.

Synopsis et détails

Une plongée au cœur de Radio France, à la découverte de ce qui échappe habituellement aux regards : les mystères et les coulisses d’un média dont la matière même, le son, demeure invisible.

Cliquez ici pour la bande d’annonce sans sous-titres

 

Secret de tournage sur La Maison de la radio : Représenter l'invisible

Le défi de ce documentaire a notamment relevé du fait que l'univers de la radio repose sur la parole sans l'image. La difficulté était donc de ne pas se contenter de montrer des images de ce qui en règle générale est affranchi de l'image, mais bien de trouver un mode de représentation qui soit cohérent à ce monde

Pour rendre la trame du film fluide et cohérente, la cinéaste a choisi de reconstituer une journée virtuelle à Radio France : une journée, et une nuit, vingt-quatre heures à partir d'images collectées en six mois de tournage, lui permettant de suivre certains personnages récurrents, donnant ainsi une unité à la structure de son documentaire.